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12/07/2007

L’interview de Léon Bloy par Louis Vauxcelles (1904), par Émile Van Balberghe

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Crédits photographiques : Mark Bridger (Nature/National Geographic Photo Contest).

Voici les toutes premières lignes d'un article d'Émile Van Balberghe, bloyen émérite. Il s'agit d'une version corrigée et augmentée d'un texte paru dans Le Livre & l'Estampe, t. 51, n° 164, 2005, pp. 139-158.

Léon Bloy (1846-1917) n’est guère interrogé par des journalistes : quelques interviews seulement et quelques réponses à des enquêtes littéraires et autres. Nous sommes loin des multiples sollicitations dont son ancien ami Joris-Karl Huysmans est l’objet. Ne parlons pas de celui que Bloy appelle «le crétin des Pyrénées», Émile Zola…
L’interview du grand pamphlétaire catholique par Louis Vauxcelles paraît dans le journal parisien Le Matin du 7 octobre 1904. Bloy en colle soigneusement une coupure dans la partie de son livre de presse conservée aujourd’hui aux Archives et Musée de la Littérature à la Bibliothèque royale de Belgique à Bruxelles. Elle est, par ailleurs, bien connue des spécialistes.
Le paratexte de cette interview est révélateur de la presse d’information – d’une «press people» – de l’époque. Sous-titre accrocheur : Un colosse affable – Le balai de M. Léon Bloy – Mis à l’index par la France entière ! – Le «Mendiant ingrat» – Les dernières colonnes de l’Église – «Passage à tabac» des écrivains d’aujourd’hui, accompagné d’une mauvaise photographie de l’écrivain.

La suite de ce texte au format PDF (j'en profite pour remercier Dominique Autié pour sa diligence experte).

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